Naissance :

Né le 27 Avril 1970 à New Bell (Dispensaire devenu entre-temps Hôpital de District de New Bell), aîné d’une famille de 10 enfants. D’un Père et d’une Mère Nkamois (Bandem pour le Père et Bogtiya pour la Mère).

Vie familiale :

Orphelin dès lâ€™Ă¢ge de 14 ans, devient le Père de famille, abandonne les Ă©tudes pour prendre en charge la famille. Il est aujourd’hui mariĂ© Ă  Mme BANDA Rufine, Père de 03 enfants biologiques et de 14 enfants adoptifs et grand-père de 02 petits fils.

Souvenirs marquants de la vie :

Pendant longtemps, a fait le pousse-pousse pour aider sa mère à subvenir aux besoins de la famille et financer une partie de ses études.

– A travaillĂ© comme manÅ“uvre Ă  la DESIGN (scierie) pendant deux ans.

– A gĂ©rĂ© une boutique de Gros au MarchĂ© Central.

– A Ă©tĂ© acteur de film (Clando de Jean Marie TENO).

– A enseignĂ© au Collège Maria Goretti de New Bell (1996-1997).

Formation :

  1. Scolaire :

– Primaire : Ecole publique de New Bell Aviation Mixte CEPE.

– Secondaire : Collège Libermann BEPC.

  1. Professionnelle :

– Animation sociale et Management associatif.

– Gestionnaire de Centre d’Animation-Consultant.

Cursus :

– CFAS (Centre de Formation des Animateurs Socio-Culturels de Mbalmayo COE Major promotion 1996)

– Montage et Gestion des Projets Sociocommunautaires Ă  la Maison des Jeunes et des Cultures (MJC de 1993-1996).

– Conception projets de Recherche-Action dans les domaines de l’animation sociale.

Etude des milieux 1996

Stage de perfectionnement en Italie au siège international du COE (Centre d’Orientation et d’Education) à Mbarzio, Juin-Décembre 1996.

– Fondateur de la Maison des Jeunes et des Cultures d’Akwa.

– SĂ©minaire Banque Mondiale sur le Management des ONG, 1997-YaoundĂ©.

– Montage des Microprojets Cycle AKBF, 2007.

III. Politique :

Première promotion de l’Institut de Formation et d’Etudes Politiques (IFEP) du MANIDEM dirigé par le Professeur NSAME MBONGO (2005-2007).

Carrière, Actions et Actes Politiques :

Plusieurs fois arrĂªtĂ© et incarcĂ©rĂ©, BANDA KANI est Ă  l’avant-garde de tous les combats pour la dĂ©mocratisation et la promotion des droits humains, Ă©conomique et sociaux des personnes au Cameroun depuis 1990.

C’est ainsi qu’il crĂ©e le C9 (ComitĂ© des neuf disparus de BĂ©panda), organise la mobilisation populaire au tour de ladite affaire (Mars 2001). GrĂ¢ce Ă  l’action du C9, le pays a fait un grand bond dans le respect des droits de l’homme, et ceci a provoquĂ© des rĂ©formes positives au sein de l’armĂ©e camerounaise et consolidĂ© davantage les institutions.

Il déclenche et organise les différentes campagnes anti-délestages (2003-2004). Cette action amène le gouvernement à engager des initiatives d’envergure pour résorber le déficit énergétique national.

Il encadre stratégiquement et politiquement les bendskineurs (Juillet 2003). Cette action a quasiment obligé le gouvernement à accorder plus de considération aux bendskineurs et ce, au plus haut niveau de l’Etat en l’occurrence, le Chef de l’Etat. Ce qui a contribué à la pacification des relations sociales et à la consolidation de la paix dans notre pays. Il encadre stratégiquement et politiquement le mouvement estudiantin dans leurs luttes pour la reconnaissance de leurs droits (ADDEC). Cette action a eu pour résultat une meilleure prise en compte des droits des étudiants au sein des universités camerounaises.

– Promoteur de CAP LibertĂ©, 1990-1991

– Fondateur et SecrĂ©taire GĂ©nĂ©rale de l’Association GĂ©nĂ©ration Citoyenne (Affaire BASSILEKEN et lutte contre les exactions du commandement opĂ©rationnel)

– EntrĂ©e au MANIDEM, DĂ©cembre 1999

– SecrĂ©taire Administratif du MANIDEM (Mouvement Africain pour la Nouvelle IndĂ©pendance et la DĂ©mocratie), 2000-2009

– SecrĂ©taire GĂ©nĂ©ral du MANIDEM, FĂ©vrier 2009-Novembre 2009

– PrĂ©sident du MANIDEM, 21 Novembre 2009-Mai 2010 (Ce sera la première alternance rĂ©alisĂ©e Ă  la tĂªte d’un parti politique dit de l’opposition au Cameroun, obtenue de haute lutte. Tout un symbole)

– DĂ©mission du MANIDEM, Septembre 2010 

Muri par les épreuves, BANDA KANI comprend et intègre les changements majeurs qui impactent le champ social et politique au Cameroun et dans le Monde :

* Il appelle le peuple camerounais à ne pas descendre dans la rue à la suite d’un mot d’ordre de l’opposition le 23 février 2011 pour implémenter un printemps camerounais à la suite du printemps arabe. Le mot d’ordre du Président BANDA KANI sera très suivi et les Camerounais ne descendront pas dans les rues

  1. Le Mouvement social et civil est entré dans une phase de maturité (avec les évènements de Février 2008 et l’échec de l’appel à la mobilisation populaire du 23 Février 2011, les crises ivoirienne et libyenne), le peuple est désormais très exigeant.
  2. Les Ă©vènements de la Cote d’Ivoire et de Libye imposent une actualisation des conceptions que nous avons des intĂ©rĂªts de notre pays et de notre place dans le monde. Les hommes politiques doivent donc, se mettre Ă  la hauteur des enjeux.

C’est pour donner du sens et des perspectives d’accomplissement Ă  ces changements que BANDA KANI se positionne dĂ©sormais comme un homme d’Etat, capable d’interprĂ©ter Ă  temps et Ă  contretemps les intĂ©rĂªts de notre pays et les aspirations de notre peuple.

  1. M. BANDA KANI encore militant du MANIDEM, est le seul au sein de cette formation politique à soutenir la révision constitutionnelle de 2008.

* Président-Fondateur du parti politique NMP (Nouveau Mouvement Populaire), 2011.

* Candidat déclaré à l’élection présidentielle de 2011, il apporte finalement son soutien à monsieur Paul BIYA, candidat du RDPC (Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais).

Depuis Janvier 2012, il s’investit dans la promotion du Panafricanisme au Cameroun, en Afrique et dans le Monde.

* Initiateur et pionnier du « Débat Panafricain » dans la chaine Panafricaine AFRIQUE-MEDIA. Cette émission de géopolitique est devenue une des plus prisée du Monde entier.

* Consultant Senior dans la chaine Panafricaine AFRIQUE MEDIA.

Organise et dirige une manifestation devant le Consulat de France à Douala pour demander le départ de 428 (quatre cent vingt-huit) légionnaires français stationnés dans le Nord-Cameroun et ceci sans l’accord du gouvernement camerounais, alors qu’aucun parti politique n’en parle. Ces partis politiques se précipitent et se mobilisent plutôt pour prendre part au double scrutin municipal et législatif de Septembre 2013. Cette manifestation débouche sur le départ de ces légionnaires français du territoire camerounais. Cette manifestation eu lieu le 26 septembre 2013.

Est le seul homme politique camerounais en dehors du gouvernement, Ă  sâ€™Ăªtre opposĂ© fermement Ă  l’ingĂ©rence de l’actuel ambassadeur amĂ©ricain dans les affaires intĂ©rieures du Cameroun. L’affaire de cette prise de position est portĂ©e devant le congrès amĂ©ricain oĂ¹ le PrĂ©sident BANDA KANI est nommĂ©ment citĂ©. Le congrès ne dĂ©savoue pas l’ambassadeur amĂ©ricain, mais ne lui donne pas raison non plus. (Avril – Mai 2018).

Il est le seul homme politique camerounais Ă  sâ€™Ăªtre opposĂ© constamment, contre vents et marĂ©es, Ă  la dynamique des revendications dites « anglophones » et ce dès le dĂ©but de ladite crise. Aux cĂ´tĂ©s du PrĂ©sident de la RĂ©publique Son Excellence Paul Biya, il aura Ă©tĂ© le seul Ă  rappeler le caractère UN et INDIVISIBLE du Cameroun et aussi la PRIMAUTE de la LOI.

* Membre du G20 (groupe de 20 partis politiques d’opposition au Cameroun ayant appelé à voter pour le candidat Paul Biya à l’élection présidentielle 2018).

* L’action panafricaniste du NMP et de son Président National a permis de : 

  1. Modifier le regard du Monde sur l’Afrique ;
  2. Renforcer le poids géopolitique de l’Afrique dans le Monde ;
  3. Briser la chape de plomb géopolitique de l’Occident sur l’Afrique ;
  4. De jeter les bases d’un changement radical des rapports France-Afrique ;
  5. Renforcer les Etats Africains face aux menées déstabilisatrices de toutes sortes ;
  6. Refonder les relations entre les Dirigeants Africains et leurs peuples, ce qui s’est traduit de façon plus concrète par :
  7. a) Le lancement du passeport africain ;
  8. b) La résolution collective de sortie de la Cour Pénale Internationale prise par la Conférence des Chefs d’Etats de l’Union Africaine ;
  9. c) Le changement des relations entre l’Afrique et la Cour Pénale Internationale ;
  10. d) La France a amorcée la reconnaissance de ses crimes de guerres au Cameroun avant l’indépendance dans le cadre de la lutte des patriotes camerounais pour l’indépendance, ceci a été fait par le Président François Hollande en visite officielle au Cameroun en 2015 ;
  11. e) L’évitement d’une nouvelle dévaluation du Franc CFA ;
  12. f) La France s’est vue obligé d’intégrer l’enseignement des langues africaines dans son programme éducatif ;
  13. g) Nous avons empĂªchĂ© directement la rĂ©ussite des projets de dĂ©stabilisation et/ou de recolonisation des pays suivants : le Burundi, la RĂ©publique DĂ©mocratique du Congo, le Gabon, le Tchad, le Cameroun, le Congo-Brazzaville et la GuinĂ©e Equatoriale ;
  14. h) Amené l’Union Africaine à jeter les bases de son autofinancement à travers le prélèvement d’une taxe ;
  15. i) Nous avons contribué grandement à la reconstruction de l’Etat Centrafricain tel qu’elle se déploie actuellement ;
  16. j) Nous avons empĂªchĂ© le parachutage programmĂ© depuis la France de M. Lionel ZINSOU Ă  la tĂªte de l’Etat bĂ©ninois ;
  17. k) Nous avons pris une très grande part dans la lutte qui aboutit à la libération de Mme Simone GBAGBO.
  18. l) Nous avons exposé les crimes de l’impérialisme français en particulier et ceux de la communauté internationale autoproclamée en général en Côte-D’ivoire ;
  19. m) Nous avons exposé les méfaits de l’action de l’Organisation des Nations Unies en Afrique ;
  20. n) Nous avons jeté les bases de la rénovation des relations monétaires entre la France et l’Afrique notamment la question du Franc CFA.

PRIX ET DISTINCTIONS HONORIFIQUES

– Reçoit le Prix du « meilleur panĂ©liste panafricaniste » dĂ©cernĂ© lors des Peace Media Awards en 2017.

– Reçoit le Prix du « Meilleur panĂ©liste de l’émission 1/7 » prĂ©sentĂ© par le journaliste Joly Koum sur Canal 2 et dĂ©cernĂ© par ce dernier en 2016.

– Obtient le rang de « 4 ème homme politique le plus populaire au Cameroun » lors de la 1ère Ă©dition du Grand Prix de l’excellence Patriotique, Roi de la ferraille KOLOKO LEVIS CLAUDE organisĂ© par la Fondation du « Roi de la ferraille », KOLOKO LEVIS CLAUDE, pour l’émergence des petits mĂ©tiers en 2016. 

– Reçoit la « mĂ©daille du Chevalier du MĂ©rite Camerounais Ă  titre exceptionnel », remise au cours d’une cĂ©rĂ©monie oĂ¹ les honneurs officiels de l’Etat du Cameroun lui ont Ă©tĂ© rendus, et ce, en 2015.

– Reçoit le Prix du « Meilleur homme politique chrĂ©tien de la dĂ©cennie 2002-2012 » dĂ©cernĂ© par la CAGA (Cameroun Alternative Gospel Awards) en 2012.

Retour en haut